Nouvelle chronique de mon recueil « Maison »

Nouvelle note de lecture consacrée à mon recueil « Maison. Poésies domestiques » signée Patrice Maltaverne.

« Sous-titré « Poésies domestiques », « Maison » est le premier livre de poèmes publié par Emanuel Campo, aux Editions La Boucherie Littéraire.

En lisant ce recueil, je me suis dit que décidément – et encore heureux ! – la poésie réaliste n’était pas si réaliste que cela.

Avec trois fois rien échappé de la vie de tous les jours, Emanuel Campo parvient à nous faire décoller du sol, je veux dire, à nous faire rejoindre les nuages.

Il y a aussi de la froideur dans ces textes, et pour moi, ce n’est nullement un défaut car, tout de même, la poésie ce n’est pas que de la rigolade.

D’ailleurs, entre rêve, désincarnation et froideur, il peut y avoir certains points communs, non ?

Dans « Maison », ma préférence va plutôt aux poèmes courts, qui échappent au piège de la chute et constituent à mes yeux de vraies énigmes.

L’enfance de l’auteur, comme le premier âge des bébés autour de lui, sont aussi très présents, comme pour ne pas rompre avec cette part de rêve. »

Découvrez dans l’article original 3 extraits ayant retenus l’attention de son auteur.

Un grand MERCI à Patrice Maltaverne de suivre mon travail. Il avait déjà consacré un article sur ma poésie il y a un an, avant même que je sois publié.

Patrice Maltaverne est auteur, lecteur (Poésie chronique ta malle) et éditeur : éditions du Citron gare, responsable de la revue Traction Brabant.

Maison. Poésies domestiques d’Émanuel Campo, collection Sur le billot, éditions la Boucherie littéraire, 60 pages, décembre 2015, 12 €. Disponible en commande dans n’importe quelle librairie de France, Belgique et Suisse.

Derniers achats / futures lectures

Je suis revenu du salon « Les beaux jours de la petite édition » à Cadenet (qui avait lieu ce week-end) avec tout ça

mes achats à Cadenet

Une belle pile de livres à ranger sur mon actuelle pile des livres en cours ou qui m’attendent à savoir la bio d’Ezra Pound et le Comment lire de ce dernier, La Dernière fête de Gil Scott-Heron, le Tais-toi ou meurs de Mark Oliver Everett (le chanteur de Eels), Rap indépendant de Sylvain Berthot, Pimp de Iceberg Slim, le dernier numéro de la revue Ouste, celui de la revue Muscle, aux dernières ficelles, il doit aussi y avoir un Christian Bobin et un Kateb Yacine qui se baladent là-dedans, mon Dieu quand aurais-je le temps de relire Septentrion ?